
Ce n'est pas un genre de plaisir superficiel et voyant, que l'on éprouverait à se laisser porter par le vent, comme au sommet d'une vague, dans le ciel, j'évoquerai plutôt le vaste océan qui se déploie entre les continents, en cachant des abîmes invisibles, infinis. Simplement, mon assimilation manque d'énergie. Mais s'y substitue un sentiment de bonheur. L'apparition d'une puissante énergie entraîne la crainte de la voir s'épuiser. Lorsque j'obéis à une certaine stabilité, je n'ai pas à avoir ce genre de...
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