Le Tosho-gu ... dans les brumes de Nikko ...
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Située à une centaine de kilomètres de Tokyo, Nikko rassemble quelques grands sites historiques du Japon, dont le Tosho-gu.
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Lorsque le grand shogun Tokugawa Ieyasu mourut en 1616, Nikko fut retenu comme site pour accueillir son mausolée. Le projet mobilisa 15.000 artisans, parmi lesquels les meilleurs menuisiers, sculpteurs et peintres du pays. Avec 2,5 millions de feuilles d'or, les somptueux édifices qui constituent ce sanctuaire sont emblématiques du style richement orné de la période Momyana (fin du XVIème siècle). Ce style a ses admirateurs et ses détracteurs car il est loin de la sobre élégance du goût japonais et reflète les excès rococo de la Chine des Ming.
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La fontaine sacrée où il est d'usage de se rincer les mains et la bouche avant de pénétrer dans l'enceinte du sanctuaire
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Trois des gardiens du temple
La pagode, don d'un seigneur féodal. Chaque niveau représente un élément : la terre, l'eau, le feu, le vent et le ciel, dans un ordre ascendant
Le Shinkyusha, écurie sacrée, qui renferme l'éfigie d'un cheval blanc. Il est orné de bas-reliefs représentant des singes dont notamment les Trois Singes de la Sagesse (qui n'entendent rien, ne disent et ne regardent rien de mal) car on pensait à l'époque que les esprits des singes protégeaient les chevaux
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Des futs de saké et de wisky ... offrandes des négociants
Le Rinzo qui contient des sutras dans une structure tournante
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La tour du tambour
et la tour de la cloche
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La Karamon (porte d'entrée) du Tosho-gu
Le temple principal, le Tosho-gu
Le Mikoshigura, édifice renfermant les palanquins sacrés portés en procession pendant les fêtes
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Dans la forêt de cryptomères (cyprès géants), le tombeau d'Ieyasu
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